Conflans-Sainte-Honorine : face à l’islamisme, arrêtons d’être lâches !

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Le président de la République Emmanuel Macron a tenu un discours devant l'école où exerçait Samuel Paty, le professeur assassiné. Capture d'écran.

Avant-hier, des parents d’élèves se sont indignés, se sont révoltés, afin que, plus jamais, des images « blasphématoires » ne soient montrées à leurs enfants, des Français comme les autres.

Hier, un professeur d’histoire est assassiné par décapitation près d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) par un tchétchène de 18 ans. Hier, un homme a perdu la vie, la tête roulant sur le sol, pour avoir simplement, oui simplement, montré à ses élèves des images, de simples images. Hier, un homme a été abattu par des policiers de la BAC après avoir crié « Allah Akbar » tout en menaçant ces derniers avec un pistolet à billes…

Si cette information peut faire vomir, une autre l’est tout autant. Celle de voir un président d’une république (laquelle ?), venir sur les lieux du drame, pour nous dire : « ils ne passeront pas ». Ces mots passent comme une lame de rasoir sur la gorge. Ils ne passeront pas… mais ils sont quand même passés !

Ils ne passeront pas, mais ils ont franchi les frontières. Vous avez réduit nos frontières à une simple limite géographique pour que nos enfants puissent repérer la France sur une carte, mais non pour les protéger.

Ils ne passeront pas, mais ils ont pris d’assaut les « quartiers » pour ne pas nommer ces petits bouts de France que vous abandonnez par couardise. Ils en font un lieu de trafic et de business qui alimentent leurs conquêtes.

Ils ne passeront pas mais ils viennent dans les écoles pour apprendre l’arabe et rejeter ces morceaux d’histoire qui les dérangent, qui vous dérangent. Ils viennent non pour apprendre, mais pour nous apprendre à rejeter « la culture française », que vous-même vous niez.

Ils ne passeront pas mais ils se présentent dans les médias, dans les universités, dans les rues, pour se présenter comme des victimes de l’intolérant même si ce dernier lui donne tout : logement, aides et subventions, travail, quand il en reste.

Ils ne passeront pas, mais ils s’installent. Ils sont là. Et pas seulement dans les banlieues et dans les grandes métropoles. Ils sont aussi dans nos petites villes de province, dans nos campagnes. Et vous, vous allez une fois de plus, pour la centième fois, nous dire qu’ils « n’auront pas notre haine », que nous sommes unis, pour le meilleur… et pour le pire. Ils ne veulent pas notre haine, ils veulent notre pays, la France. Vous, vous nous parlez de République et de ses « valeurs » menacées par le méchant terroriste. Nous, on vous parle de la France et de ses mœurs, de son histoire, de sa culture, menacées par une autre civilisation. Votre « No pasarán » n’appartient qu’à vous. Nous ne sommes pas de ce camp des lâches et des menteurs.

Alors Monsieur Macron, continuez à communiquer, à parler, à gesticuler, c’est votre seule façon d’exister.  Et s’ils sont bels et bien passés, c’est sûrement votre action qui ne passera pas dans la postérité. Si ce professeur d’histoire était encore en vie, dans 20 ans il pourrait dire de vous à ses élèves dans son cours d’histoire : « il ne passait pas aux yeux des Français ».

 

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