Le gouvernement fait du test PCR un outil au service de la politique vaccinale. © Wikimedia

Ubu Roi n’a qu’à bien se tenir ! Le Premier ministre français, Jean Castex, a confirmé ces derniers jours la fin de la gratuité des tests PCR.

 

Désormais, à partir du 15 octobre 2021, la population non-vaccinée se verra obligée de fournir de la monnaie sonnante et trébuchante aux centres gouvernementaux afin de pouvoir vivre normalement. Si de nombreux juristes et politiques affirmèrent naguère qu’il n’existait pas deux régimes juridiques différents entre la population vaccinée et la population non-vaccinée, il semble que la ségrégation sanitaire soit désormais entièrement consommée. Les tests dits « de confort » seront en effet payants pour les derniers « gaulois réfractaires au changement » afin de les inciter à aller se faire vacciner.

Chose curieuse lorsque l’on sait que les vaccinés, eux, pourront avoir accès aux tests PCR de manière gratuite. Ces tests, s’ils sont « de confort » pour les non-vaccinés, semblent donc être d’une nécessité absolue pour la population vaccinée, manière s’il en est de dire que la protection vaccinale apportée par les vaccins est d’une faiblesse extrême. A l’heure où le virus semble en voie d’extinction, ne circulant plus dans nombre de nos provinces, le gouvernement semble encore vouloir tenir en joue une population saine. Mais réjouissons-nous, les mineurs pourront tout de même avoir accès de manière gratuite aux tests PCR ! Décision étonnante d’un ministère qui s’enquiert de laisser la liberté vaccinale aux enfants d’un côté pour entamer leur vaccination obligatoire de l’autre. Plus étonnant encore quand l’on sait que nos chers bambins n’ont rien à craindre de la Covid-19, si tenté qu’ils n’aient pas de comorbidités.

Finalement, comme toujours depuis maintenant presque deux ans, le gouvernement agit de manière superstitieuse, croyant qu’en enfermant le plus possible la population ou qu’en l’empêchant de vivre normalement il pourrait se soustraire à la sentence de la Cour de justice de la République. Mais loin d’éloigner les juges, Jean Castex semble tout faire pour les attirer. « L’homme ce petit monde de folie » disait Johann Wolfgang von Goethe.


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